Il y a près de trois ans, Michael a exprimé le désir de revisiter ce vin dans deux ans... s'il le faisait, je parie qu'il affirmerait qu'il s'est magnifiquement développé. Cette beauté limpide a émergé avec son noyau de fruit de canneberge intact, la volatilité dissipée et avec des nuances attrayantes d'épices et une touche de terreux de sol forestier. Malgré son origine Bench, il ne me rappelle rien tant que l'un des meilleurs pinots de Coyotes Run, et il vient juste d'entrer dans son apogée... il n'en reste plus dans ma cave !